Né de la volonté de répondre aux besoins en termes d’espaces et de technologies de pointe de sa communauté scientifique croissante, l’Université Concordia s’est lancé le défi ambitieux de construire un incubateur des sciences appliquées, bâtiment qui vient prolonger le pavillon des sciences Richard J. Renaud.
Client
Université Concordia
Achèvement de la structure
Collaborateurs
MSDL
NFOE
Pageau Morel et Associés
SNC-Lavalin
Marchand Houle et Associés
Groupe TEQ
Certifications
Certification LEED Or
Cet édifice de 5 étages hors-sol et de 2 sous-sols aménagés sur 8 400 m², pensé pour tenir compte des travaux interdisciplinaires, accueille des chercheurs aux activités aussi variées que la biologie aquatique, la microscopie, l’imagerie cellulaire, la nanoscience, la biotransformation ou encore du génie chimique et des matériaux. Cette extension permet également d’héberger des équipes de scientifiques et d’ingénieurs collaborateurs du Centre d’innovation D3 de Concordia, qui nécessitent un laboratoire de travaux pratiques.
La propagation des vibrations a été l’enjeu et le défi principal de ce projet. Abritant des laboratoires et des équipements très sensibles à la fine pointe de la technologie, les planchers en béton armé ont été conçus en fonction de l’influence des déplacements des chercheurs et des étudiants.
De même, l’excavation du bâtiment a été étudiée pour que l’installation du mur Berlinois n’influence pas les résultats d’expériences scientifiques en cours dans le bâtiment adjacent. Ainsi, les ondes de vibration transmises lors de l’enfoncement des pieux soldats du mur Berlinois ont été minutieusement pensées.
Enfin, véritable point d’orgues de cette construction, la passerelle suspendue favorise la collaboration, facilite l’accès aux équipements et propose un espace unifié.
Cette création a obtenu une certification LEED Or et représente le quatrième bâtiment écologique haute performance des Campus Concordia.
Né de la volonté de répondre aux besoins en termes d’espaces et de technologies de pointe de sa communauté scientifique croissante, l’Université Concordia s’est lancé le défi ambitieux de construire un incubateur des sciences appliquées, bâtiment qui vient prolonger le pavillon des sciences Richard J. Renaud.
Cet édifice de 5 étages hors-sol et de 2 sous-sols aménagés sur 8 400 m², pensé pour tenir compte des travaux interdisciplinaires, accueille des chercheurs aux activités aussi variées que la biologie aquatique, la microscopie, l’imagerie cellulaire, la nanoscience, la biotransformation ou encore du génie chimique et des matériaux. Cette extension permet également d’héberger des équipes de scientifiques et d’ingénieurs collaborateurs du Centre d’innovation D3 de Concordia, qui nécessitent un laboratoire de travaux pratiques.
La propagation des vibrations a été l’enjeu et le défi principal de ce projet. Abritant des laboratoires et des équipements très sensibles à la fine pointe de la technologie, les planchers en béton armé ont été conçus en fonction de l’influence des déplacements des chercheurs et des étudiants.
De même, l’excavation du bâtiment a été étudiée pour que l’installation du mur Berlinois n’influence pas les résultats d’expériences scientifiques en cours dans le bâtiment adjacent. Ainsi, les ondes de vibration transmises lors de l’enfoncement des pieux soldats du mur Berlinois ont été minutieusement pensées.
Enfin, véritable point d’orgues de cette construction, la passerelle suspendue favorise la collaboration, facilite l’accès aux équipements et propose un espace unifié.
Cette création a obtenu une certification LEED Or et représente le quatrième bâtiment écologique haute performance des Campus Concordia.